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Programme de mentorat

La SCM lance un nouveau programme de mentorat qui vise à réunir des chercheurs à différents stades de leur carrière afin de partager l’information et de réseauter au cours d’une année. Nous espérons que les médiévistes resteront connectés les uns aux autres et se rencontreront de temps en temps alors que nous croisons des conférences; toutefois, accepter de participer au programme de mentorat du SCM exige un engagement minimum d’un an.

Comment cela fonctionne-t-il?

 Le programme de mentorat du SCM consistera en un jumelage en tête-à-tête entre médiévistes qui veulent être encadrés sur des questions précises. Le mentor et le mentoré se rencontreront virtuellement (c’est-à-dire par téléphone ou par vidéoconférence) au moins une fois par année pendant une heure. Les mentors et les mentorés peuvent également choisir de tenir leur réunion au Congrès si les deux sont présents.

Les paires peuvent être en contact plus fréquemment, en particulier par e-mail; toutefois, les mentors et les mentorés devraient discuter des attentes concernant la fréquence de communication au début du programme. (Voir le document d’attente ci-dessous.) Cela dit, une réunion annuelle au cours de l’année est la minimale à laquelle nous nous attendons à ce que les participants s’engagent. L’un ou l’autre membre peut se retirer du programme à tout moment.

Ce programme de mentorat vise à créer des relations horizontales entre collègues.

Qui peut participer?

Le programme de mentorat du SCM encourage la participation des chercheurs à chaque étape de leur carrière, des médiévistes des études supérieures et du début de carrière aux chercheurs plus établis dans le domaine. Pour participer au programme de mentorat du SCM, vous devez être membre actif de la société. La participation à la conférence annuelle au Congrès n’est pas nécessaire.

Formation

L’exécutif de la SCM est chargé de coordonner et d’apparier les personnes. Les personnes peuvent s’inscrire pour être à la fois un mentor et un mentoré, selon des besoins spécifiques. Par exemple, une personne peut être en mesure d’offrir des conseils sur la publication, mais demander un mentorat pour assumer des rôles administratifs. À cette fin, nous vous demandons d’indiquer les domaines dans lesquels vous aimeriez le plus être encadré et/ou encadrer les autres.

Notre objectif est de jumeler les participants d’une manière qui aligne au mieux leurs intérêts et leurs besoins de mentorat; cependant, nous visons également à éviter de créer des partenariats dans lesquels un médiéviste de haut rang est considéré comme étant principalement ou seul responsable de fournir des commentaires à toutes les préoccupations qui se posent. Les discussions de mentorat que nous envisageons sont des espaces de solidarité et de conversation fructueuse dans lesquels tous les membres bénéficient de l’expérience des uns et des autres.

Une fois les partenariats de mentorat créés, nous enverrons une annonce ainsi que des renseignements supplémentaires pour assurer des réunions utiles ainsi que sur la façon dont vous pourriez commencer la conversation.

Attentes en matière de comportement professionnel

Le Programme de mentorat du SCM vise à promouvoir des relations collégiales et de soutien entre collègues à différents stades de leur carrière en tant que médiévistes. Ce code de conduite décrit les types d’actions qui favorisent de telles relations et renforcent davantage notre communauté.

Tous les participants au programme de mentorat doivent:

  • être traités avec courtoisie, respect et coopération

  • avoir des renseignements personnels ou confidentiels manipulés avec discrétion

  • traité les autres participants avec courtoisie, respect et coopération

  • aider à créer un espace de discussion sûr et de soutien

La Société canadienne des médiévistes s’engage à favoriser un environnement exempt de harcèlement. Tous les membres de la société partagent la responsabilité d’établir et de maintenir un climat de respect et de prendre les mesures appropriées pour faire face aux situations qui violent ce principe ou demandent conseil.

Les participants au programme de mentorat doivent se faire en fonction des valeurs de non-discrimination, de dignité et de courtoisie. Les participants doivent également reconnaître le droit des autres participants au programme d’avoir des valeurs et des opinions diverses. La pratique du respect mutuel favorise un environnement durable pour la liberté d’expression et l’ouverture de l’enquête. Les membres peuvent se retirer de ce programme à tout moment.

La Société canadienne des médiévistes s’intéresse à la protection des droits des personnes vulnérables. Une personne vulnérable peut être définie comme une personne qui est plus susceptible de subir des préjudices en raison de son statut actuel dans la société. Les personnes vulnérables occupent des postes qui peuvent rendre les personnes susceptibles d’être maltraitées ou plus particulièrement susceptibles de subir des mauvais traitements de la part de ceux qui pourraient y avoir le pouvoir.

À cette fin, toute forme de harcèlement ne sera pas tolérée. La Société canadienne des médiévistes considère le harcèlement comme un traitement abusif, injuste ou dégradant à l’égard d’une personne. Le harcèlement se produit lorsque le harceleur tente d’exercer un pouvoir sur les harcelés par un comportement conçu pour intimider ou détresse. Le harcèlement implique qu’une personne n’est pas digne de respect et que les opinions et la personne de cette personne ont peu ou pas de valeur.

Le harcèlement nuit à l’individu, à l’organisation et à la profession de façon de grande envergure et de longue date. Le harcèlement comprend des actions dégradantes, humiliantes et menaçantes, des commentaires, des blagues, d’autres formes de communication verbale et/ou écrite, le langage corporel et le contact physique, fondés sur le sexe, le sexe, l’orientation sexuelle, l’identité de genre, la race, l’origine ethnique, l’âge, la religion, les capacités physiques et mentales, ou toute autre caractéristique protégée par la loi et les intersections qui en sont. Le harcèlement sexuel comprend, mais ne se limite pas aux avances sexuelles non désirées; demandes de faveurs sexuelles; d’autres comportements verbaux et physiques de nature sexuelle; blagues ou remarques offensantes ou suggestives; des questions ou des conversations personnelles inappropriées; contact physique indésirable ou non consensuel, comme tapoter, étreindre ou toucher; l’affichage d’images sexuellement explicites, offensantes ou dégradantes, à l’exception de l’analyse savante; se leissant ou ogling; des remarques sexuelles au sujet des vêtements ou du corps de quelqu’un; demandes répétées de dates après avoir été dit non; comportement de représailles.

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